Mais c'est censé être de la bouffe sa ? [Pv Joy.A.Stevens]

Je viens de passer plusieurses heures de tortures Maths avec un prof qui pu la clope , Histoire avec un professeur donc je pense qu'elle ne met jamais de déodorant , Français ah le professeur de français qui as une coupe assez même trés bizarre voir pire que celle de Bill et sa faut le faire ( Bill ne le prend pas mal mais fallait une bonne comparaison xD ) Imaginé vous la moitier de la coupe de Bill avec un peu de celle de son frére . Poulpe mélanger avec un hérisson c'est pas un trés beau malenge croyait le ou pas ! Bref une matiné d'horreur ! Je marche lentement en direction du réfectoire où normalement j'ai bien dit normalement la bouffe y est pas trop mal mais sa faut encore vois le jour que c'est ! Et bien sur aujourd'hui ce n'est pas le meilleur ! ^^" en bref c'est une journée pourri ! Je m'arête devant les cuisiniéres qui sont sencé être trés accro à l'higiéne hors celle-ci tousse comme des malades devants les plateaux de nouriture il me semble même qu'un cracha vient d'attérire dans la nouriture de la cruche qui est juste devant moi . J'écarquille les yeux et prends mon plateau la salle est pleine a craquer . Il ne reste plus qu'une table deux place je m'avance vers celle-ci et m'y assoit nonchalamant ce qui attire quelques regards vers moi . Je soupire et commence à troufouller dans ma soit-disante nouriture qui as plus l'aspect de morve qu'autre chose !

Invité

Liar, liar, pants on fire
Liar, liar, stop yourself from catching
Fire, fire, gotta make a
Liar, liar, pants on fire
...

- Miss Stevens, pouvez-vous nous rappeller comment l'on calcule l'aire d'un cylindre ?

Liar, liar, house of fire
And the glass tastes messy chew it louder
bet your tummy hurts you, you motherfucker
mother never loved you
father touched...

- Ma musique !

Joy leva les yeux vers son professeur de mathématiques, qui lui avait enlevé les oreillettes, et mit l'I-pod dans sa main, fronçant les sourcils d'un air sévère. Joy fit la moue, avant de se laisser aller contre son dossier et de croiser les bras sur sa poitrine.

- C'est un cours de mathématiques, miss Stevens, non le lieu pour écouter votre musique. Aussi, pouvez-vous répondre à ma question ?
- Bien sûr que non étant donné que j'écoutais autre chose, je pensais qu'avec le MP3 en main vous l'auriez comprit monsieur !

Joy leva les yeux au ciel d'un air exaspéré. Mon Dieu, c'était tellement évident... Bien sûr, elle avait parfaitement comprit que le prof essayait de la mettre mal à l'aise, mais Joy n'en avait cure, et jouait franc-jeu. Le regard de l'homme se fit noir, et il dit à voix basse, d'un ton trop calme pour ne pas paraître suspect :

- Vous me rejoindrez dans mon bureau après le repas miss, il me semblerait bon que nous ayons une petite discussion sur votre comportement au cours de ces dernières semaines...

Joy le fixa sans broncher, immobile, tandis que celui-ci s'éloignait, l'I-pod en main. La cloche ayant sonnée, elle se leva, rangea ses affaires, et jeta négligement son sac sur son épaule, sortant de la classe. Dépassant les autres élèves de son âge d'un bon pas, elle rangea rapidement ses affaires dans le casier qui lui était réservé, avant de se frayer un chemin entre les élèves jusqu'au self.
Arrivée là, elle jeta un rapide coup d'oeil à la nourriture : peu apétissante à tout dire... D'un pas souple, ses Doc Martens ne faisant même pas de bruit sur le sol, elle passa entre les étudiants et se saisit d'une pomme rouge écarlate toute simple, avant que son regard bleu électrique ne cherche parmi les tables une quelconque place. Lorsque son regard l'accrocha enfin, elle s'y dirigea. Ah tiens, une jeune fille demandait déjà au jeune homme si elle pouvait s'asseoir. Avec un sourire en coin, Joy la poussa, et s'assit sur la chaise que l'autre s'apprêtait à prendre.

- Tu m'excuseras mon coeur, la place est déjà prise.

En plus, l'autre niaise rougit et se répandit en excuses maladroites. Restant silencieuse, Joy attendit patiamment qu'elle s'en aille, le regard fixé sur la porte du self, histoire de montrer à quel point la jeune fille l'intéressait prodigieusement... Ce ne fut que lorsque cette dernière fut partie qu'elle consentit enfin à lever les yeux vers le jeune homme... Et son repas. Fallait vraiment être fou pour manger ça... Elle eut un sourire mutin, sa pomme toujours en main.

- Tu serais pas du genre suicidaire toi par hasard ?

Je regarde la jeune fille enfin le premiére jeune-fille et va pour lui dire quelque chose . Mais une autre jeune-fille s'assoit . J'hausse un sourcil tout en souriant . J'attends que la premiére jeune-fille parte pour détourné mon regard sur la nouvelle venu . Et sourit son entrée a quelque chose d'amusant mais quoi j'en sais rien . Elle me pose alors une question on v alui répondre pour pas être mal-polie . Je prend alors une grande inspiration ce qui me donne l'air un peu idiot mais j'y suis habitué puis tout en lui répondant je m'appuis contre le dossier de la chaise

-Si je le suis et c'est pour sa que je vais faire ça . Ecatre toi un peu s'il te plait !

Une fois que celle-ci bouge un peu j'envoi la nourriture au dessus d'une table de sportif qui ce reçoivent mon plateau en pleine figure . Je fais un sourir enigaud et me tourne alors vers la jeune-fille pour lui dire

-Merci ! Au fait moi c'est Jared Drake et toi ?

Les sportifs s'énervent dérrière la jeune-fille je lmes regarde du coin de l'oeil et attends qu'ils lévent .

Invité

Un sourire aux lèvres, trop angélique pour ne pas paraître suspect, elle croisa ses jambes fines et blanches sur la table, sans plus de gêne, ne le lâchant pas de ses yeux bleus électriques.
A sa réponse, elle haussa un sourcil en aile d'oiseau, mine de rien, avant de lancer sa pomme en l'air et de la rattraper d'un geste négligeant, se décalant d'un centième de millimètre, juste assez pour éviter le projecile.
Elle croqua dans sa pomme, dont le coeur était ridiculement jaunâtre en comparaison des dents d'une blancheur d'ivoire et bien alignées de Joy, tandis qu'il se présentait. A voix basse, elle répondit, les yeux rivés sur la pomme.

- Joy. Elle consentit enfin à lever les yeux vers lui, et demanda de cette même voix aux accents brisés : Enchantée ?... Jared...

Haussant ce même sourcil, une moue amusée accrochée sur son visage honteusement beau, elle désigna les garçons derrière elle d'un geste du menton, avant de demander avec un sourire narquois :

- Ils ont l'air de t'apprécier... Des potes à toi ?

POur une rare fois les sportifs ne semblent pac contre attaquer . Je m'étire alors lentement et regarde la jeune fille nomée Joy puis lui dit sur un ton nonchalant et ironique à la fois

-Oui c'est mes meilleurs potes !

Je continue de les regarder du coin . Je bouge d'un centimétre lorsque je voi un bou de pain passé a quelque centimétre de la tête de Joy . Je lui dit alors

-Joy fait gaffe il commence à se chauffer sa va bientot partir en cacahuéte !

Pour pas dire en couille =) car les garçons dérrière elle commence à s'énervé lentement et prépare leurs "munitions"

Invité

- Je vois ça... C'est beau l'amitié pas vrai ?

Joy le fixa intensément, ses yeux bleus ne le quittant plus d'une semelle, si bien que si elle remarquât le bout de pain qui passa à quelques centimètres de son visage, elle fit comme si de rien n'était. Jared eût beau la prévenir, il le fit trop tard. Un petit pois vint s'écraser sur sa joue, dans une traînée verte peu apétissante.
D'un geste lent, portant sa main à sa pomette, Joy essuya le déchet, impassible.
Se levant lentement, elle contourna une table, avant de se diriger sur la table des sportifs. Avec un sourire à celui qui semblait être leur leader, elle se pencha et murmura d'un ton doux à son oreille :

- Je crois que ceci t'appartient, mon amour...

Ce disant, elle se rapprocha de lui, et un instant on pût croire qu'elle allait l'embrasser, mais Joy se contenta de lui coller une giffle monumentale, avec le petit pois dessus, histoire de bien écraser la traînée verdâtre sur le visage de l'autre, qui la fixa avec de grands yeux ahuris.

Tout d'abord je ne comprit pas trés bien ce qui venait de se passer . Je regarde donc Joy se lever puis s'approcher lentement du sportif . Je regarde attentivement la jeune-fille . Je détourne lentement mon regard en l'éspace de quelque seconde j'entends un énorme clac . J'écarquille les yeux et me tourne vers Joy et l'autre jeune-homme . Lorsque je vois la trace de la mais de Joy sur la joué écarlate du sportif . Je tombe a la renverse et m'écrase face contre terre . Je rigole que faire de plus lorsque qu'une jeune-fille donne une claque à cause de petit pois ! Je reste là étendu par terre mort de rire cettet expréssion prend tous son sens en ce moment même . Je sufffoque et n'arrive pratiquement plus a respirer . Les larmes coulent lentement laissant des trainés de crayons noir sur mes joues . Je pose lentement ma main sur la table pour essayé j'ai bien dit essayé de me relever ! Je m'appuis sur la table de tout mon poids et retombe sur chaise tout en rigolant .

Invité

Alors qu'elle venait à peine de lui balancer sa giffle, Joy se retourna, entendant un éclat de rire derrière elle. Elle haussa un sourcil en voyant Jared plié de rire par terre, et se demanda un cour instant s'il n'allait pas mourir étouffé. D'un ton malicieux, elle lui dit :

- Ris pas encore, t'as même pas vu le plus drôle...

Evitant souplement une munition d'un gars du groupe de sport, Joy se dirigea d'un pas souple vers le surveillant détesté de tous, monsieur Franklin, et lui envoya une bonne demie-douzaine de tranches de pain, avec un baiser éhonteux.

- Joyeux Noël monsieur Franklin, tous mes voeux de bonheur !

Nan non nan ne fait pas sa ! Je ferme les yeux pour les réouvrirs lentements pour regardé le surveillants . Mmmphh trop tard elle va avoir droit a quelques heures de colle pour ce qu'elle vient de faire . Je reste calma me retenant de rire puis je dit en toussotant

-Hum je sais pas si ta bien fait là !?

Ma vois sonne faux et je sais pourquoi je révais de lui faire sa mais j'ai longtemps pourquoi ? Ben je veu plus avoir d'heure de colle nan plus jamais ! Mai sbon autant en profiter ! Je me léve alors et m'avance vers la table des profs je leur sourit il me rendre ce sourire chose qu'il n'auraient jamais du faire . Je plonge ma main dans leur repas et répends tout le contenue de leur assiéte sur eux . Puis je dit d'une voi morne

-Pour vos préjugés complétement stupide .

Puis je me rassoit sans un mots en regardant la porte du self .

Invité

Ne répondant pas à sa remarque, elle accorda un sourire angélique au surveillant, avant de se baisser pour éviter une platrée de nouilles à la sauce tomate, qui alla s'écraser sur le veston de ce même surveillant. Mais ce dernier ne se retourna même pas, car comme l'avait prévu Joy, il rédigeait à toute vitesse un bulletin de consigne à son adresse.
Un vague coup d'oeil en sa direction lui permit de juger l'affaire. Elle en avait pour cinq heures au moins. Se retournant vivement, elle vit Jared qui, de son côté, s'en était pris aux professeurs. Courant vers lui de sa démarche féline, elle lui attrapa la main, et se mettant à courir à toute vitesse, évitant les tables et les élèves avec une souplesse à rendre jalouse une gymnaste, elle lui dit, pour seule explication :

- On s'casse.

Ce disant, elle attrapa une assiette de purée d'un orange foncé douteux, avant de le lancer à la manière d'un freesbee droit sur la feuille que brandissait le vieux Franklin. Voilà, plus de consigne, déjà un problème réglé.
Puis, courant vers la sortie, entraînant le jeune homme avec elle, elle tourna à l'angle d'un couloir, ouvrit un placard à balai à la volée, l'y poussa à l'intérieur sans ménagements avant d'y entrer elle-même. C'était précisément le genre de cachette que Joy connaissait pour ne jamais se faire prendre...

Je fixe la porte du self avec "amour " oubliant la bataille de nouriture qui s'annoce et qui en plus commence à cause de moi doué dans le genre ! Je sens alors la main de main de Joy se refermé sur la mienne . Je la laisse faire un contacte féminin ne fait jamais de mal ! Puis elle me tire nan mais sa va pas du calme ! Je me laisse faire et la laisse me trainer . J'attrape de justesse ma guitarre et cour dérrière elle . Nous avons légèrement l'air con ce qui me fait sourire faut pas cherché a comprendre ! Je rentre dans le placard à balais et ma plaque contre le mur . Je regarde alors les alentours et retournes un sceau pour m'y asseoir dessus . Ce placard me fait remonté a la surface quelque souvenir pas trés net . La premiére fois que j'ai essayé le drogue ou des choses dans le styles . Enfermé dans un placard un peu de poudre blanche et un pote avec qui je partageai tout puis son overdose et sa mort . Ma sorti du centre de désintox mon entré dans la gothisisme ma rechute dans le drogue , mon frére qui me défonce la gueule a cause de sa . Puis la joies de se savoir aimé de quelqu'un . Voilà tout ce que je ressen et a quoi je pense à ce moment même . Je soupire et m'appui contre le mur . Je fixe Joy mon regard est vague et n'exprime rien . Je ressens quelque picotement qui me fait cligné des yeux . Je détourne mon regard et le dépose sur une grosse toile d'arraigné qui se trouve sur le plafond .

Invité

Une fois entrée, Joy se retira au fond, si collée au jeune homme qu'elle en avait chaud, mais faisant néanmoins comme si de rien n'était. Silencieuse, elle attendit les bruits de pas, qui courraient dans tous les sens, les cherchant.
Heureusement, elle savait rester parfaitement immobile. Et en ce moment, elle était si fixe qu'on aurait pû songer sans trop de mal à une statue irréelle sculptée dans la glace. Seuls ses yeux bleus électriques attestaient encore de son état vivant, et encore...
Ils attendirent, attendirent, attendirent encore... Les pas s'affollaient, un par-ci, un par-là, ils semblaient toujours aller dans une direction puis se raviser, et néanmoins ils finirent malgré tout par se décourager. Lorsque les bruits de pas se furent complètement évanouis, et qu'elle fût certaine qu'ils ne reparaitraient pas avant un certain bout de temps qu'elle se tourna vers le jeune homme et, plantant son regard dans le sien, elle murmura d'un ton grave, avec son éternel sourire en coin :

- Bravo... Joli suicide...

Je reste immobile ne me comptrant plus les minutes qui s'écoulent ne sentant même pas le contact avec cette jeune-fille pourtant assez mignonne qui dans d'autre circonstance m'aurait fait un tel plaisir que je n'aurait su le cacher mais là rien le calme plat a vrai dire j'ai pas la tête à sa . Je m'écarte un peu assez pour n'être pratiquement plus dans la maigre lumiére réussi a s'infiltrer dans se placard . Me voilà dans le noir . Je serre les poins je ne veu pa craqué pas maintenant pas devant elle . Je me retien le plus que je peu . Pourquoi maintenant et surtout pourquoi devant elle ! Nan c'est pas possible . Je ferme un instant les yeux et reste dans le noir . Puis je les réouvrent lorsqu'elle me parle je n'est pas entendu sa question et demande alors à voi basse nan pas par crainte de nous faire découvrir ici mais pour ne pas qu'elle se rende compte que ma voi tremble légèrement voir beaucoup pour quelqu'un qui est habitué a m'entendre parler

-De quoi ?

Je le fixe toujours tapis dans mon coin sombre . Pourquoi suis-je comme sa maintenant ? Serait-ce car aujourd'hui cela fait prés de deux mois que mon pote est mort ? Ou le coup de téléphone de Shannon pour savoir comment j'allai ?

Invité

Baissant les yeux, Joy plongea sa main dans la poche de sa veste Vivienne Westwood en cuir noir, en tirant une cigarette aussi longue et fine que les doigts blancs qui l'extirpaient, ainsi qu'un briquet. Portant la cigarette à ses lèvres, elle alluma le briquet et l'approcha du bout de cette dernière, avant de relever les yeux vers Jared. Eteignant son briquet, elle saisit sa clope toujours non-allumée dans son autre main, et répondit d'un ton sec, comme si c'était d'une pure évidence :

- Ton petit jeu de tout à l'heure. Très amusant, d'ailleurs.

Elle le fixa intensément, le visage dénué d'expression, si bien que personne n'aurait pû savoir si ce qu'elle venait de dire était sincère ou si c'était purement ironique. Se décidant enfin à allumer la cigarette, elle la porta à ses lèvres et en tira une bouffée nonchalante, avant de détailler le visage du jeune homme dans l'obscurité. Il avait l'air tout sauf dans son assiette, lui. Haussant un sourcil, Joy se demanda où était passé l'élève turbulent et rebelle de tout à l'heure. Bref.
Soudain, elle sursauta, et comme si c'était d'une évidence, elle songea enfin à lui tendre son paquet de clopes, lui en proposant une du regard.

Je réfléchit un moment toujoursdans l'ombre je tousse pour essyé de récupéré ma voi qui décidément ne veus pas revenir a la normal . Je soupire et dit alors à voi basse

-Han si tu le dit .

Je le regarde faire des souvenirs de plus en plus marquand revienne . Je cherche quelque chose où je pourrais accroché mon regard . Les toiles s'araigné ?! .... Nan je les ait déjà vu . Je regarde lentmenet les alentours lorsque Joy me propose une cigarette . ce petit geste me pince le coeur je souri et dit

-Nan merci je fume plus .

Mon envi de fumer est parti en même temps que mon meilleur ami . Je cherche alors ma guitare de la main et éfleure sans le vouloir la jambe de Joy je dit alors géné

-Désolé !

Je touche alors le manche de la guitare et la tire pour la posé à quelque centimétre de moi . Et la tire de sa housse pour la prendre sur moi . Le moyen de ne plus penssé a tous sa c'est de joué de joué jusq'en en être dégouté ou avoir des crampes et des ampoules . Je comence lentement un petit air sans vraiment savoir ce lequel .

Invité

- Oh. Dur. J'te souhaite du courage, faut en avoir pour arrêter.

Elle le regarda avec un sourire en coin, qui démentissait parfaitement, tandis qu'elle rangeait son paquet. A vrai dire, elle ne demanda même pas si ça le gênait. Si c'était le cas, Joy avait besoin de sa clope, puisque Jared avait fumé il comprendrait sans doute ce que c'était... Ensuite, si ça le gênait trop, il pourrait sortir du placard, libre à lui.
Elle ne sembla même pas surprise lorsqu'il lui toucha la jambe, et pourtant elle aurait pû, après tout elle avait une jupe, mais ce n'était pas le genre de chose qui choquait Joy. S'adossant contre le mur du placard à balai, tout petit, elle fronça les sourcils lorsqu'il sortit sa guitare. Et la lui arracha des mains alors qu'il commençait à en jouer.

- Dans le genre dingue. Tu veux nous faire repérer ou quoi ?

-Ne touche pas a ma guitare !

Ma voi gronde dans tout le placard . Je prends ma guitare des maisn de Joy et sort enfin de l'ombre . Ben c'est pas ma faute si je suis pas dans mon assiéte aujourd'hui . Je le regarde els yeux bleu ciel flamboyant de colére puis je les détournent pour reprendre mon calme et lui dit alors d'un ton un peu plus calme

-'Scuse . Mai sne reprend plus ma guitare et si tu cherché quelqu'un de saint tu t'est raté avec moi !

Ben oui je suis dingue et je n'est pas honte de le dire elle ne veu pas se faire repéré ben c'est raté avec moi . Enfin surtout aujourd'hui pas dans mon assiéte . Mai sj'ai quand même une excuse deux moi que mon meilleur pote est mort et je tenait a ce type un peu louche un peu con trés efféminé limite PD mais je ne peu rien y faire ! Je dépose alors mon regard vers Joy puis le détourne rapidement je sens la colére m'envahir c esentment si bizarre qui de temsp en temsp fait du bien .

Invité

Lorsqu'il lui arracha sa guitare des mains, lui hurlant dessus, Joy soutint son regard sans sourciller, très peu (pour ne pas dire absolument pas) impressionnée, une main sur la hanche et l'autre le long de sa taille fine et gracieuse.
Elle le vit se saisir de l'instrument, s'en servant comme si elle avait été vivante. Ecoutant à peine sa remarque, qu'elle balaya d'un geste de main ennuyé, elle répondit de sa voix grave aux accents cassés :

- Mais qui t'as dit que je recherchais un saint ?

Se baissant, elle s'accroupit devant lui, afin d'être à la hauteur de son regard, avec le seau sur lequel il s'était assis, et, imperceptiblement, posa une main légère sur le genoux du jeune homme, avant de se rapprocher, le fixant toujours aussi intensivement, et de souffler dans un murmure frais :

- Qu'est-ce qui te dis que je ne recherches pas plutôt une personne de ton genre, Jared Drake ?...

*Qu'est ce qu'elle me veu celle là !* Voilà mes premiéres pensée comme je vous le disez aujourd'hui je ne suis pas d'humeur joyeuse . Lorsque je senti les mains de la jeune-fille seposer sur mes genoux je ne fit rien . Se contacte aurez du me faire un quelque chose mais nan enfin juste un peu . Je soupire et lui dit

-Sa ya que toi qui peu le savoir !

Roh mais qu'est ce que j'ai ! Je soutiens son regard . Je sens son air chaud mais je ne vbouge pas se n'est pas désagréable tout compte fait ! Eh ben il m'en as fallut du temps ! Je sourit et dit et

-Désolé pour ces saut d'humeur suis pas dans mon assiéte aujourd'hui ! Mai sje crois que tu t'ene st déjà rendu compte .

Il continua de lui sourire bêtement tout en sentant un petit quelque chose .

Invité

- J'avais remarqué, en effet.

Ce disant, elle porta sa clope à ses lèvres pulpeuses, pensive. S'appuyant contre la paroi, elle tira une bouffée, silencieuse, tout en l'inspectant de temps à autre du coin de l'oeil, histoire d'étudier sa réaction. Finalement, elle lâcha à voix basse, avec ses éternels accents brisés :

- J'suis pas vraiment le genre psychologue qui va à tout le monde et j'préfère les actes aux paroles. N'empêche, si tu veux parler, parles. C'est le moment où jamais.

" J'suis pas vraiment le genre psychologue qui va à tout le monde et j'préfère les actes aux paroles. N'empêche, si tu veux parler, parles. C'est le moment où jamais." Je souri a cette phrase que vous voulez vous que je fasse d'autre ? Moi me confiez a quelqu'un que je ne connais pas encore assez ? Même Bill n'est pas au courant de tous sa et pourtant c'est celui qui est le plus proche de moi dans cette académy ! Je dit alors sur un ton qui se veu aimable

-Nan c'est bon . Je vais pas te faire chier avec mes problémes !

Bon au moins sa c'est dit ! Je continue de sourire tout en la regardant . Puis il détourne mon regard vers ma guitare . Une grosse envie de joué me vien . Je soupire et prend mon carnet noir qui se trouve toujours dans ma poche et tourne inlassablement les pages